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    + Vie sociale et Santé
    Pays de Savoie
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    • Sergio Palumbo | dernière mise à jour : 19/12/2011
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    La rougeole,

    une maladie virale très contagieuse

    Rougeole

    © Sergio Palumbo - 123 Savoie
     
    La rougeole est une infection virale hautement contagieuse, d’évolution le plus souvent bénigne. Ses principales complications sont, par ordre de fréquence : la diarrhée, l’otite moyenne aiguë, la pneumonie virale ou bactérienne, l’encéphalite aiguë post-rougeoleuse survenant le plus souvent 1 à 2 semaines après l’éruption et la panencéphalite sub-aiguë sclérosante survenant en moyenne 7 ans après l’éruption. Les formes compliquées sont plus fréquentes chez les moins de 1 ans et les plus de 20 ans ainsi que les décès, observés dans environ 0,2% des cas.
    La première cause de décès est la pneumonie chez l’enfant et l’encéphalite aiguë chez l’adulte.
    Compte tenu de la raréfaction de la rougeole, son diagnostic doit être confirmé biologiquement. Ce diagnostic repose sur la mise en évidence d’IgM spécifiques ou sur l’augmentation franche du titre des anticorps, en s’assurant qu’il n’y a pas eu de vaccination récente. Ces anticorps peuvent être recherchés notamment sur du sérum (ponction veineuse ou prélèvement d’une goutte de sang sur papier buvard) ou de la salive. La détection du virus de la rougeole peut être réalisée par culture cellulaire ou par amplification génique virale, partechnique de reverse transcription (RT-PCR) permettant ainsi l’analyse génomique qui donne une indication sur l’origine géographique du virus.
    Rougeole
    © Sergio Palumbo - 123 Savoie
     
    Une infection unique procure une immunité à vie contre toutes les souches du virus de la rougeole. Par ailleurs, les souches vaccinales du virus de la rougeole ne comportent aucun risque de recombinaison avec d’autres virus qui pourraient être présents chez le patient. L’immunité protectrice est assurée par des anticorps et des cellules T CD4 et CD8 spécifiques. L’immunité acquise après vaccination est à la fois cellulaire et véhiculée par les anticorps.
    L’immunisation dans une population est obtenue dans au moins 70% des cas après une injection de vaccin contre la rougeole et dans au moins 94% après une deuxième dose systématique. L’immunité anti-rougeoleuse chez les nourrissons de moins d’un an est fonction du statut immun de la mère : une mère vaccinée transmet moins d’anticorps à son enfant qu’une mère ayant fait la maladie, ce qui influence dans le même sens la persistance des anticorps chez l’enfant.
     
    Il n’existe pas de traitement contre le virus de la rougeole. Pour soigner les malades, il faut prendre en charge leurs symptômes et prévenir les complications. Le traitement est simple et repose sur le paracétamol, les antibiotiques, les pommades ophtalmiques et la vitamine A pour prévenir les complications oculaires et les diarrhées. Un support nutritionnel peut être nécessaire, car la rougeole est un facteur de risque grave de malnutrition.

     

    « la rougeole fait partie de la liste
    des maladies à déclaration obligatoire »
    Enfin, il est à rappeler que la rougeole fait partie de la liste des maladies à déclaration obligatoire, décidée par Le Conseil Supérieur d’Hygiène Publique de France (CSHPF) section maladies transmissibles. La procédure de signalement est une procédure d’urgence et d’alerte qui s’effectue sans délai et par tout moyen approprié (téléphone, télécopie). Tout cas clinique correspondant aux critères retenus, confirmé ou non, est signalé au médecin inspecteur de santé publique (Misp) de la Ddass dès la première consultation par le clinicien (sans attendre le résultat biologique) ou dès que le résultat est rendu positif par le biologiste. Le déclarant devra fournir au Misp toutes les informations nécessaires à la mise en œuvre des mesures d’investigation et d’intervention, y compris l’identité et l’adresse du patient. La procédure de notification du cas consiste à remplir une fiche de notification obligatoire et à l’envoyer aux autorités sanitaires (Ddass). Elle est identique à celle des maladies à D.O. (Déclaration Obligatoire) hors VIH, SIDA, VHB et tétanos.

    La procédure de déclaration, en pratique :
    Le médecin (libéral ou hospitalier) qui verra un cas présentant les critères cliniques de rougeole devra, dès le premier examen, le signaler au médecin inspecteur de santé publique (Misp) de la Ddass d’exercice par téléphone ou par télécopie. Dans ce cadre, il pourra faxer une fiche de notification obligatoire à la Ddass au titre du signalement.
    Pour la notification, le déclarant enverra la fiche spécifique dûment complétée. Si cette fiche avait déjà été adressée, dans le cadre du signalement, elle sera complétée par le médecin déclarant (et adressée à la Ddass) ou par le Misp (information recueillie auprès du déclarant), notamment avec les résultats de laboratoires.

    « La rougeole n’est plus uniquement une maladie de l’enfance et touche aussi les jeunes adultes »

    Alors qu’une quarantaine de cas étaient seulement déclarés chaque année en 2006 et 2007, on assiste, depuis 2008 à une nette augmentation : 21.000 cas déclarés dont près de 14.600 sur les huit premiers mois de l’année 2011. C’est le pays d’Europe de l’Ouest où il y a le plus de cas. La France présente aujourd’hui un risque de propagation de la maladie vers d’autres pays l’ayant éliminée grâce à la vaccination. Cette maladie très contagieuse peut entraîner des graves complications parfois mortelles.
    Depuis le début de l’épidémie en 2008, près du tiers des malades a été hospitalisé (dont 26 encéphalomyélites et plus de 800 pneumonies graves) et l’on déplore dix décès depuis le début de l’épidémie. La rougeole n’est plus uniquement une maladie de l’enfance et touche aussi les jeunes adultes. La moitié des malades enregistrés en 2010 étaient âgés de plus de 15 ans. Or, chez les jeunes adultes, les complications liées à cette maladie sont plus fréquentes. Pour se protéger de la rougeole, la seule prévention est la vaccination, avec deux doses de vaccin, des enfants dès 1 an et de tous les jeunes adultes nés depuis 1980. En 2008, les Pays de Savoie comptaient 103 cas déclarés du virus (Savoie : 52 et Haute-Savoie : 51).
     

    Sources : MSF (Médecins Sans Frontières) et Ministère de la Santé

    « Les effets indésirables les plus courants sont une fièvre et une éruption cutanée bénigne pouvant ressembler à la rougeole »

    Pourquoi vacciner mon enfant contre la rougeole, les oreillons et la rubéole ?
    La rougeole, les oreillons et la rubéole sont souvent des maladies sans gravité. Mais, dans le cas de la rougeole, elles donnent lieu parfois à des complications graves, voire mortelles. Par exemple, la panencéphalite subaiguë sclérosante survenant après la rougeole est cause de handicap mental irréversible ; la rubéole chez la femme enceinte peut engendrer des malformations graves de son enfant ; enfin, les oreillons peuvent induire des pertes d’audition chez l’enfant ou être cause de stérilité chez l’adolescent. Par ailleurs, la rougeole entraîne une fatigue générale durable et favorise les infections dans les mois qui suivent la maladie par une baisse temporaire de l’immunité. Or, il n’existe à ce jour aucun traitement curatif contre la rougeole, ni contre la rubéole ou les oreillons. Vacciner contre ces maladies permet de les éviter.
     
    Les complications sérieuses de la rougeole ne sont-elles pas réservées aux pays en développement ?
    Les complications sévères de la rougeole sont effectivement beaucoup plus fréquentes chez les enfants malnutris des pays en développement, mais elles se produisent également dans les pays industrialisés. Avant la généralisation de la vaccination contre la rougeole, les oreillons et la rubéole, le nombre des décès dus à la rougeole en France se situait entre 15 et 35 tous les ans. Par ailleurs, la rougeole est très contagieuse. Elle se transmet très facilement, quelle que soient les conditions d’hygiène. En l’absence de vaccination, la rougeole affecte pratiquement chaque personne.
     
    Mon enfant a déjà eu une première dose du vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole. Cela ne suffit-il pas ?
    Une seule dose suffira le plus souvent à protéger votre enfant contre ces trois maladies. Pourtant, il a été démontré qu’un petit nombre d’enfants ne fabrique pas d’anticorps après cette première dose, d’où la nécessité, pour être complètement protégé, de la deuxième dose recommandée dans le calendrier vaccinal. Si votre enfant ne reçoit qu’une seule dose de vaccin, il risque de contracter la rougeole, la rubéole ou les oreillons. Mais il pourra aussi contribuer à la résurgence d’épidémies en augmentant le nombre de personnes capables de transmettre la   maladie.
     
    On m’a dit qu’on pouvait attraper la rougeole même en étant vacciné : est-ce exact ?
    Cela peut se produire, mais c’est un événement rare, car le vaccin contre la rougeole est très efficace et a permis de réduire de façon importante le nombre de cas de cette maladie. Cela peut se produire chez les enfants qui n’ont reçu qu’une seule dose de vaccin, d’où la recommandation d’administrer deux doses.
     
    Le vaccin peut-il donner lieu à des effets indésirables ?
    Les effets indésirables les plus courants sont une fièvre et une éruption cutanée bénigne pouvant ressembler à la rougeole et débutant 5 à 12 jours après l’injection.
     
    Que met-on dans les vaccins contre la rougeole, les oreillons et la rubéole ?
    Le principe de la vaccination consiste à injecter un antigène, c’est-à-dire à provoquer une réaction immunitaire protectrice de l’organisme sans provoquer la maladie. Les vaccins contre la rougeole, les oreillons et la rubéole contiennent des virus vivants atténués qui induisent une infection bénigne. Ils contiennent également des conservateurs et des stabilisateurs.
     
    Et le fait que le vaccin contre la rougeole soit la plupart du temps combiné avec deux autres vaccins... Trois vaccins administrés en même temps, n’est-ce pas trop ?
    L’avantage du vaccin combiné, c’est que votre enfant n’est piqué qu’une fois au lieu de trois. Or, l’association de ces trois vaccins n’altère en rien la réaction du système immunitaire, qui peut répondre simultanément à de nombreux antigènes. Répondre à plusieurs antigènes à la fois n’a pas de conséquences : le nouveau-né, par exemple, est d’emblée capable de réactions de protection contre les milliards d’antigènes qu’il rencontre dans l’environnement dans les heures qui suivent sa venue au monde. Avant même la naissance, l’être humain développe la capacité de réagir aux antigènes.
     
    Mais on donne beaucoup plus de vaccins aux enfants aujourd’hui qu’autrefois !
    Oui, le nombre de vaccins administrés au cours de l’enfance a augmenté et de nombreuses maladies de l’enfance sont ainsi évitées. Mais, aujourd’hui, les enfants reçoivent, avec chaque vaccin, moins d’antigènes que dans le passé. Cela est possible grâce à l’évolution technologique permettant de produire des vaccins avec des antigènes mieux sélectionnés, mieux purifiés, mieux tolérés, tout en étant aussi protecteurs.
     
    Mon enfant est malade aujourd’hui ; est-il contre-indiqué de le faire vacciner ?
    L’efficacité du vaccin et le risque d’effets indésirables ne varient pas pour un enfant souffrant d’une maladie bénigne telle que la fièvre, le rhume, la diarrhée ou une otite... En revanche, la réponse immunitaire de votre enfant peut, dans certains cas, être influencée par la présence d’une autre infection plus sévère. De toute façon, s’il est très fatigué, mieux vaut différer la vaccination de quelques jours. Demandez conseil à votre médecin traitant.
     
    Et pourquoi ce vaccin n’est-il pas obligatoire ?
    En France, seuls les vaccins contre la diphtérie (depuis 1938), le tétanos (depuis 1940), et la poliomyélite (depuis 1964) sont obligatoires pour la population générale. Ces obligations ont été instituées à une période où les maladies infectieuses constituaient la première cause de mortalité. A partir des années 1960, on a assisté à une demande croissante de la population à participer aux décisions concernant sa santé. Cette évolution de notre société a orienté les autorités de santé vers la recherche d’une adhésion volontaire à la vaccination et aucun des nouveaux vaccins n’a été depuis rendu obligatoire pour la population générale. Cela ne signifie pas du tout que le vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole, comme tous les autres vaccins recommandés, soit moins utile ou moins efficace que les vaccins nobligatoires.

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