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    • Sergio Palumbo | dernière mise à jour : 05/08/2010
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    La Trace, de Bernard Favre

    A l’occasion du 150ème anniversaire du rattachement de la Savoie à la France, de nombreuses manifestations en Pays de Savoie, ont mis ou mettent en avant le film La trace de Bernard Fravre. Sorti le 21 décembre 1983, le film retrace l’itinéraire d’un colporteur dans la Savoie de 1860.

    Avec : Richard Berry, Bérangère Bonvoisin, Sophie Chemineau, Marc Perrone, Robin Renucci, Jeane Manson, Roger Jendly, Pierre Forget, Attillio Bus, Philippe du Janerand
    Scénario : Bernard Favre et Bertrand Tavernier
    Musique : Nicola Piovani, Marc Perrone
    Distribution : Tamasa
     
    La Trace
     
     
    Royaume de Savoie, 1859.
    Le 27 septembre de cette année-là, Joseph Extrassiaz, dit "Le Rétréci", a démontagné. Les bêtes descendues dans les vallées et les devoirs des champs accomplis, Joseph quitte son village de la haute montagne savoyarde. Ainsi commence l’histoire de ce colporteur qui, l’hiver durant, parcourt le nord de la péninsule italienne afin d’y vendre mercerie, coton, fils à broder, dentelles et colifichets.
     
    Sa route, semée d’embûches et de rencontres, parfois drôles, parfois pathétiques, le mène du Valais jusqu’en Lombardie où le Carnaval l’attend, puis à l’ouest jusqu’à Milan. Dans les campagnes, il est parfois l’objet d’animosité : plus que l’amant de passage on craint les
    dépenses inutiles ; l’argent est rare à cette époque. Son argent gagné, Joseph, au terme de son périple, le dépensera en achats de semences, cordes, tissus, outils... qui lui seront nécessaires une fois retourné au pays où l’attendent les travaux des champs... En chemin, une folie le prend : à Vercelli, il achète un accordéon, mais à «La Passe d’Annibal», les douaniers français voudront lui faire payer une amende pour fait de contrebande.
     

    Nous sommes en mai 1860. La Savoie, depuis près d’un mois, est française.

    L
    e mot de...
    "Autrefois, les gens qui vivaient dans la montagne étaient forcés d’avoir une activité de substitution pendant l’hiver. Beaucoup d’entre eux étaient colporteurs. Certains allaient jusqu’en Catalogne. Vendant des articles de mercerie, de la dentelle. C’est naturellement devenu le sujet de mon premier film. J’ai d’ailleurs hérité ce goût du voyage. De l’errance. Simplement marcher, regarder, être chez soi n’importe où. Pour moi, rien n’est pire que de se sentir propriétaire. Faire des films, c’est la même chose. On part, comme une troupe de théâtre, on met les problèmes domestiques entre parenthèse".
    Bernard Favre
     

     
    Bertrand Tavernier
    Bertrand Tavernier - © Georges Seguin
     
    "Avant peu", écrivait Chesterton, "le monde sera déchiré par une guerre entre téléscopistes et microscopistes. Les premiers étudient de vastes choses et vivent dans un monde limité. Les seconds en étudient de petites et vivent dans un monde immense". Nul doute que le héros du film de Bernard Favre n’appartienne à la seconde catégorie. Les rapports qu’il a avec la guerre, les coutumes, la religion, les bouleversements sociaux sont précis, pragmatiques, quotidiens.
    Contrairement aux explorateurs, aux globe-trotters, il ne songe pas à ce qui divise les hommes, à ce qui les sépare (les rites, les frontières), mais aux choses qui les unissent : la musique d’un fisarmonica, la faim, les enfants, la mort, la beauté d’une femme, les promesses ou les menaces du ciel.
     
    Voilà ce qui m’a plu dès les premières pages du sujet de Bernard Favre. Faire rencontrer, au détour d’un chemin, au sommet d’un glacier, dans une cour de ferme italienne l’histoire avec l’Histoire, les faire s’entrechoquer rapidement comme deux silex et en capter les étincelles. Voilà quel a été notre travail. Il fallait aborder chaque scène comme le fait Joseph, sans a priori, ni étonnement "modernes" : en habitué des rencontres et de l’imprévu (le colportage des nouvelles, c’est aussi son gagne-pain), en témoin endurci et ouvert. Sans psychologie, ni thèse, ni naturalisme. Et ce qui m’a plu chez Bernard Favre, c’est son entêtement. A la recherche de ses racines, de son passé, il ressemble aux personnages de son film. Désireux de comprendre, il n’aborde pas les scènes, les décors, en touriste ou en curieux. Il ne les conquiert pas. Mais plus simplement, plus humblement il les approche "avec la bonne foi des enfants et la patience des poètes". Quand il bouge, il y a tout un bout de monde, tout un univers qui bouge avec lui".
     

    Bertrand Tavernier

    Entretien avec Bernard Favre
    La Trace 1
     
    L'accordéoniste Marc Perrone
    L'accordéoniste Marc Perrone
     
    Comment est né le projet de La Trace ?
    Bernard Favre : D’un documentaire intitulé La montagne dispersée, qui relate l’histoire du village de Tignes, dont mes parents sont originaires ; le village a été, en 1952, dynamité puis noyé. J’y racontais l’histoire de ses habitants, ce que fut leur vie avant et après la construction du barrage, comment elle a été modifiée. Le film a été acheté par les Italiens, les Allemands et les Suisses. Ces derniers, qui l’avaient beaucoup aimé, m’ont demandé si j’avais un autre projet. Sans trop réfléchir, j’ai répondu par l’affirmative. Ils m’ont demandé quel en était le sujet. Or, il se trouve qu’un segment de ce film était consacré au colportage, et il y avait là matière à faire un long métrage.
     
    Quand Bertrand Tavernier est-il intervenu sur le projet ?
    Bernard Favre : A cette époque, je terminais le montage d’un court-métrage sur Pétain. Son producteur connaissait Tavernier et lui a passé le scénario. Peu après, Tavernier m’a téléphoné.
    Vous savez que l’histoire le préoccupe, lui aussi, grandement. A partir de là, les choses ont véritablement évolué. Le nom de Tavernier fait bouger les choses. Ensuite, il est intervenu sur le scénario pour m’aider à dégrossir, équilibrer, enrichir, resserrer. Ainsi, par exemple, j’avais une scène dans laquelle mon personnage se lavait les pieds, une autre où il mangeait, une autre encore où il parlait à quelqu’un. Bertrand m’a suggéré de ramasser ces trois actions et de n’en faire qu’une scène ; de cette façon, on donnait un certain dynamisme à l’ensemble. C’étaient là des manies de documentariste dont il m’a aidé à me débarrasser.
     
    Sur quels éléments vous êtes-vous appuyé pour écrire le scénario ?
    Bernard Favre : Il y a, d’une part, les histoires que l’on m’a racontées, comme l’épisode du sermon, et d’autre part, après avoir épuisé tout ce qui relevait de la tradition orale, les récits que j’ai trouvés en consultant des livres dans des bibliothèques, à la Nationale mais aussi à Milan, Aoste, etc... Sur le plan de l’information, c’était facile. Le problème s’est posé quand il a fallu structurer tout ça. Dans la moindre situation, l’authenticité est respectée. Ainsi, la scène où Joseph rencontre le Calabrais au Col du Saint-Bernard s’inspire du fait que, durant l’hiver, les habitants de Saint-Rémy servaient de guide pour le franchissement du col.
     
    Les personnages ont-ils réellement existé ou sont-ils purement fictifs ?
    Bernard Favre : Ils sont fictifs sans l’être. Comme pour les événements et incidents, ils sont nés de l’amalgame de personnages ayant existé. Ainsi, le personnage du prédicateur aveugle trouve son origine dans des livres que j’ai compulsés qui relataient l’histoire de gens qui tous les ans partaient vendre des livres au Tibet où la Suisse avait une mission, et l’épisode des déserteurs m’a été suggéré par une anecdote que l’on m’a racontée.
     
    Pourquoi avoir situé l’histoire au cours de l’hiver 1859-1860 ?
    Bernard Favre : C’est le véritable sujet du film : raconter comment au dix-neuvième siècle, basculent les choses. Quand j’avais réalisé un film sur la psychiatrie, La rue de l’Enfer, ce qui m’avait intéressé c’est que les hôpitaux psychiatriques se sont établis au milieu du dix-neuvième siècle, au moment de la constitution des Etats modernes. A ce titre, l’histoire de la Savoie était passionnante puisqu’elle est en relation avec celle de la France, qui définit pratiquement ses frontières actuelles, et celle de l’Italie, qui de même que l’Allemagne est en train de se constituer : la conséquence sera 14-18. C’est aussi le début de l’industrialisation. C’est le commencement de l’exode rural, qui n’est plus un exode temporaire comme celui des colporteurs ou des saisonniers, mais définitif. Les paysans qui s’exilent pour aller à la ville deviennent des prolétaires, à l’image du Savoyard que retrouve Joseph à Milan et qui est en train de devenir milanais.
     
    L’usage du patois et de l’italien, est une volonté d’authenticité ?
    Bernard Favre : L’aire linguistique de la Savoie, ainsi que du Val d’Aoste, est le franco-provençal. Le Valais est situé dans l’aire géographique des langues françaises. Quant au Tessin, à la Lombardie et au Piémont, ils appartiennent à celle des langues italiennes. En réalité, il y avait dans une même aire de grandes variations dont nous n’avons pas tenu compte. Ainsi, entre le Tessin, la Lombardie et le Piémont, il existait des différences très importantes : un Piémontais ne comprenait pas un Tessinois et réciproquement... La Savoie et le Val d’Aoste avaient pour langue officielle le français : c’est pourquoi Joseph et son beau-frère, qui est piémontais, dialoguent en français.
     
    Qu’est-ce qui a déterminé le choix de Richard Berry ?
    Richard Berry dans La Trace
    Richard Berry
     
    Bernard Favre : A l’origine, j’avais pensé à Vittorio Gassman. Je lui ai donc fait parvenir le scénario. L’a-t-il reçu ou non, je ne sais pas. Toujours est-il que je n’ai pas eu de réponse, je me suis alors tourné vers les comédiens français et j’ai vite pensé à Richard Berry. Il possède une morphologie qui correspond à ces gens de montagne : petit, brun, mince, très sec.
     
    Comment avez-vous choisi les acteurs qui l’entourent ?
    Bernard Favre : La grande majorité des comédiens qui jouent dans le film vient du
    théâtre. Les acteurs italiens, pour la plupart, travaillent ou ont travaillé au Piccolo Teatro. Leur choix a été déterminé en fonction d’un «parti-pris» de mise en scène qui reposait sur un découpage technique réduit au maximum. Or, les acteurs qui sont le plus habitués à jouer la scène en continuité, sont des gens de théâtre.
     
    Pourquoi teniez-vous au format Panavision ?
    Bernard Favre : Il me fallait rendre compte des décors successifs que traverse mon personnage, qui sont monumentaux puisqu’il s’agit de montagnes et de plaines, tout en l’y intégrant. Les formats "standards" ne m’aurait donné qu’une portion de ces décors, ou leur totalité mais avec un éloignement considérable. Quant au personnage, il serait isolé de son environnement ou réduit à l’état de silhouette. La Panavision me permettait au contraire d’embrasser un large champ du décor et d’y inscrire mon personnage en respectant l’échelle humaine.
     
    La Trace a lieu de la mi-automne au début du printemps...
    Bernard Favre : Le tournage s’est effectué en deux fois : quatre semaines de la mi-septembre à la mi-octobre, puis trois semaines en février. Il était impossible de le tourner intégralement en automne, on ne pouvait faire le pari d’avoir de la neige en novembre. De même, on ne pouvait tout réaliser en février, car, dans ce cas, nous n’avions pas l’automne, les alpages, les bêtes, etc. Malgré toutes nos précautions nous n’avons eu que très peu de neige cette année-là. Il fallait monter à mille huit cents mètres. Nous avons affronté les mêmes problèmes lors des deux tournages...
     
    La musique joue dans La Trace un rôle très important.
    Bernard Favre : En réalité, il y a dans le film très peu de musique. Or, ce qui frappe les gens, c’est la musique. En France, on a coutume de dire qu’une bonne musique de film est une musique que l’on n’entend pas. Ma position est exactement à l’inverse : j’estime qu’une bonne musique est une musique qui s’entend.
     
    Quelles sont les raisons qui vous ont amené à choisir Nicola Piovani ?
    Bernard Favre : Je le connaissais par ses partitions pour les films des frères Taviani. C’est un musicien extrêmement brillant, et j’ai pensé à lui quand j’ai entendu ce qu’il a composé pour La Nuit de San Lorenzo... Dans la scène où Joseph quitte l’usine à Milan ; je voulais à ce moment-là une musique qui ressemble à du Verdi, parce que l’unité italienne est en train de se réaliser et que la musique de Verdi était en prise directe sur cette réalité politique de l’époque ; Nicola Piovani a donc écrit un extrait d’ouverture de type verdien.
     
    Et Marc Perrone, l’autre compositeur du film ?

    Bernard Favre : Je l’ai connu par quelqu’un qui savait qu’il était un des deux ou trois meilleurs accordéonistes diatoniques en France. Ce qu’il faisait était effectivement superbe, et puis je trouvais qu’il avait une belle gueule. Il n’avait jamais joué la comédie, mais tant pis. Il a donc joué le rôle de Calabrais. Outre sa présence et la musique qu’il joue, il a été très précieux.


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