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Entendu sur un télésiège

Entendu sur un télésiège

Le Meilleur du Pire ! + de 400 anecdotes

 

Télésiège des Chavannes Express – 12h20 – Les Gets
– J’aime pas parler sur les télésièges.
– Pourquoi ?
– J’ai peur de raconter des conneries et de me retrouver sur la page Entendu sur un Télésiège.
#troptard

 

Entendu sur un Télésiège, c’est à l’origine une page Facebook créée par Maxence, Léo et Noé. Un soir de 2013, à Avoriaz, ces trois jeunes de la Yaute (la Haute-Savoie en version française), nés les skis au pied, ont l’idée géniale de compiler les plus belles perles entendues sur les remontées mécaniques.

C’est qu’on ne s’ennuie pas durant ce temps suspendu au-dessus des pistes de ski ! Ça discute, ça râle, ça rigole, ça critique, ça jure, ça se la raconte, ça débat, ça mythone, ça drague, ça débriefe, ça joue aux spécialistes, ça crie, ça dort, ça fait des selfies, ça chante, ça fume, ça mange…

L’initiative fait boule de neige. En trois hivers, Entendu sur un Télésiège devient culte et fédère aujourd’hui une communauté de plus de 40.000 fidèles !

Entendu sur un télésiège est préfacée par la championne du monde de slalom géant Tessa Worley…

Entendu sur un Télésiège, c’est maintenant un livre. Publié aux éditions Arthéma, il regroupe le meilleur du pire des perles recensées sur Facebook. Des tranches de vie drôles, absurdes, burlesques, décalées, coquines. Il y en aura pour tout le monde ! Les monchus (les touristes, en version française) et les montagnards, les moniteurs et les élèves, les jeunes et vieux, les hommes et les femmes, le néophyte des spatules comme les cadors du carving…

Les brèves sont classées en quatre chapitres. De la piste bleue, ouverte à tous, à la piste noire réservée aux plus de 18 ans !

Les auteurs

« 3ème étoile à l’âge de 7 ans », Maxence Bastard-Rosset a depuis quitté ses Alpes natales pour Paris. Il travaille dans la musique et a créé un club de running. Aux premières neiges, un œil sur la webcam de ses stations favorites, il trépigne en attendant de pouvoir remonter sur sa planche.

Chargé de communication pour une salle de spectacle, Léo Joly s’est également exilé « à la capitale » après avoir pratiqué le snowboard en compétition pendant toute sa jeunesse. Aux premières neiges, un œil sur la webcam de ses stations favorites, il trépigne en attendant de pouvoir remonter sur sa planche.

Son frère Noé a, lui aussi, enchaîné les compétitions de snowboard pendant plus de dix ans. Il travaille aujourd’hui à Genève en tant que manager pour une grande maison de prêt-à-porter.

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