| | Jeudi 7 novembre 2013 de 8h30 à 20h, la Région organise la 8ème édition du Marché des saveurs de Rhône-Alpes sur la place Bellecour avec le soutien de la Ville de Lyon, au pied de la statue équestre de Louis XIV. 40 000 visiteurs sont attendus pour rencontrer, toute la journée, 200 agriculteurs, éleveurs, artisans ou cuisiniers qui présenteront leurs produits et leurs savoir-faire. Fromages, charcuterie, confiseries, volailles, vins, miels... |
Une fois encore l’étonnante diversité des produits de notre région est mise à l’honneur !
- Faire son marché en automne : maîtriser le goût et le coût. Comment faire son marché pour un repas de 10 convives avec 50 € de budget ? Par groupe de 12, les participants arpenteront les allées en présence d’un chef qui leur donnera des astuces de préparation, de cuisson et de présentation. Idéal pour faire son marché en automne et mettre des mots savoureux dans les légumes et recettes de l’hiver.
- Viandes : quelle préparation, quelles recettes ? Un véritable bar à viande sera dressé pour tout savoir sur la viande : quels morceaux ? Quelle préparation ? Quelle recette ? Quelle cuisson ? Des bouchers seront là pour répondre à toutes les questions et proposer des dégustations.
- Nutrition et équilibre alimentaire. Des diététiciennes interviendront pour expliquer comment conjuguer nutrition, santé et plaisirs, selon une approche ludique.
- Allier viandes et vins. Des dégustations à l’aveugle de vins de Rhône-Alpes seront organisées par un sommelier. Il partagera ses meilleurs conseils d’associations vins et viandes.
"Le Marché des saveurs de Rhône-Alpes a été lancé en 2006 afin de rapprocher le producteur et le consommateur et de recréer le lien qui s’était perdu entre la production agricole et l’alimentation" rappelle Jean-Jack Queyranne, Président de la Région Rhône-Alpes. "Venir au Marché des saveurs est l’occasion de découvrir ou de redécouvrir les produits issus ou fabriqués en Rhône-Alpes. Consommer des produits régionaux, c’est bien entendu s’assurer de la traçabilité de son alimentation et veiller à l’empreinte écologique de ses choix de consommation, mais c’est aussi participer au développement économique de ce secteur".