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    + Ville
    Argentine
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    • Sergio Palumbo | dernière mise à jour : 29/07/2007
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    Argentine ma bien aimée...
    Mise en ligne :
    Sergio Palumbo,
    123 Savoie

    En collaboration avec André Armand et Maryline Falquet. Un merci particulier à Mme Véronique Goyat, d'Argentine pour sa participation.
    Eglise d'Argentine (Maurienne)
    Eglise reconstruite sur les ruines de celle du château des évêques de Maurienne par Jean-Pierre Castagnéry.
    Argentine : Le rétable
    Rétable de l'église d'Argentine
    Argentine : Le porche
    Porche en fonte de l'église d'Argentine (classé). Fronton : le chataigner symbole de la famille + leur devise " Pasco bonos, pungoque malos " (je nourris les bons, je pique les méchants)
    Les grilles des Castagnéry à Chambéry
    Musée du Félicien
    MUSEE DU FELICIEN
    Chef lieu
    73220 ARGENTINE

    04.79.44.33.67
    " Sur la route des vacances, la route nationale n°6, les automobilistes qui arrivent aux portes de la Maurienne, peuvent grâce à un petit délestage culturel, découvrir Argentine ! Comme beaucoup de communes mauriennaises, cette cité, a sa propre histoire, que l'on apprécie non seulement à travers des archives, mais en prenant le temps de s'arrêter, et d'en approfondir les faits marquants. Il est important d'évoquer ceux et celles qui au fil des siècles en ont été les acteurs. Dans le paysage, plusieurs édifices publics et religieux témoignent de ce passé, expliquent aussi l'évolution des mentalités et des familles : Galibert, château épiscopal, église, mines d'argent, famille Castagnéry, musée du Félicien.
    Curieusement, à Argentine, depuis 1999, la mairie occupe après une belle rénovation, l'ancien presbytère. Ce dernier, situé face à l'église a été édifié sur les ruines du château épiscopal. La connaissance de l'histoire des saints commence selon les propos du Père Jean Prieur, par quelques rudiments d'hagiographie ! Au-delà des litanies traditionnelles, celle des saints locaux, nous renvoient au Bienheureux Galibert, moine, né à Aiguebelle vers 1195. Selon les notes érudites de notre éminent historien, Galibert habitait à Montsapey et dans les montagnes d'Argentine, dans une grotte ou un chalet, où il passait une partie de ses journées et de ses nuits en prières. Ce chalet était ornement é de rosiers, d'où les roses de saint Galibert. Celui-ci se rendait à Aiguebelle pour dire sa messe et prêcher. Mort vers 1265, son corps a été déposé dans l'église paroissiale de Charbonnières ". La présence d'un château dans une commune ajoute un certain aromate pour les passionnés de la période médiévale " ! Le château féodal d'Argentine, dont il ne reste aujourd'hui qu'une tour à demi-ruinée, a été construit au Xème ou XIème siècle, à l'extrémité du plateau sur lequel étaient implantés l'église et le presbytère. Cette forteresse était dotée d'un arsenal et d'une prison. Un certain Bertus de Usulle, a été enfermé pour brigandage et Claudine, fille de Rondet de Bertellino, tous deux furent exécutés.

    Histoire et visite de l'église d'Argentine


    De nos jours, la visite d'une église, demande non seulement une certaine humilité, mais aussi de respecter dans l'interprétation de l'architecture, des évènements, le principe de précaution. Il s'agit pas scrupuleusement d'imaginer des styles ou de fabuler sur des décors. Il faut prendre du recul et faire une très bonne lecture de l'existant : l'architecture, le mobilier, l'iconographie. L'histoire de l'église commence déjà par son implantation, son importance monumentale reliée à sa position stratégie par rapport à l'ensemble du village. La toute première église de 1129 appartenait à l'abbaye de Novalaise, au pied du Mont-Cenis. Elle était dédiée à Saint Jean Baptiste. En 1571, l'ancienne église, assez petite, comptait quatre chapelles latérales, dédiées à Saint Michel, Saint Sébastien, Notre Dame de Consolation, Notre Dame du Rosaire. La visite pastorale de 1608, mentionne que les murs de l'église étaient lézardés, le toit et le lambris percés en plusieurs endroits, le sol sans plancher, les fenêtres brisées et dépourvues de vitres. En 1629, les syndics et Argentins adressent une supplique à Mgr Charles Bobba, et lui demandent la permission, de couper, vendre ou aliéner certaines parties les moins dommageables de leur forêt. Ils en vendent une partie, le 27 juillet 1631, sur la place de l'église paroissiale, à Noble Pierre Antoine de Castagnéry. Le prix sera affecté aux réparations et agrandissement de l'église.

    L'église fut ainsi reconstruite grâce à sa générosité, comme nous l'apprend une plaque en fonte placée dans le choeur et sur la porte de la sacristie. Elle sera consacrée par Monseigneur Paul Millet, le 3 octobre 1649. Une plaque de fonte, enchâssée dans le dallage au pied de la table de communion et portant la date du 12 août 1638, marque l'emplacement du tombeau de la famille Castagnéry. Selon les règles dogmatiques, du Concile de Trente, toute église doit être située sur une hauteur, pour être vue de loin, et orientée vers le soleil levant. L'église d'Argentine est édifiée sur l'emplacement de l'ancien château des évêques. Le clocher, avec une tour carrée, reconstruite probablement après la Révolution est surmonté d'une boule globe terrestre et d'une croix, sur lequel est placé un coq, signe de la résurrection. Les cloches, sonnerie de l'Angélus, enterrements, mariages... annonçaient aussi les tempêtes, les incendies, les pestes et dans certaines localités, les réunions du conseil municipal. La cloche d'Argentine, d'un poids de 1 800 kg fut baptisée par son excellence Monseigneur Grumel, le 27 septembre 1931.

    Un ruban de fonte au-dessus de la baie sculptée, nous renseigne sur la devise latine de la famille Castagnery : " Je nourris les bons et je pique les méchants " ! La porte agrémentée d'une baie sculptée, de style baroque est ornée d'un bas relief et d'un angelot, buriné, sur la clé de voûte, avec de chaque côté, des monographies incrustées. I H S le christ, M A R Marie, complétées d'inscriptions latines. DOM Déo Optimo Maximo = " Dieu est très grand " copié sur les inscriptions des temples romains dédiés à Jupiter, IOP (Lovi = Jupiter, optimo etc...) des pots à feu avec leur flamme, suggèrent ainsi que la rencontre de Dieu éclairent et réchauffent les coeurs, procurant la connaissance suprême et la sagesse. ET IONA BASTITAE SACRUM : consacrée à Jean Baptiste en 1849 Selon la liturgie, la porte est passage du monde profane au monde religieux. En entrant, le vestibule, autrefois utile pour déposer les manteaux où pour converser, car la coutume veut que l'on ne dialogue pas dans une église. Il ne reste pratiquement rien de l'architecture avant 1638, après cette date et jusqu'en 1794, une nef centrale unique du 17ième siècle, avec sa voûte en arête, complétée et copiée en 1894, par deux nefs latérales. Comme dans la plupart des églises baroques, la séparation entre le choeur et la nef est marquée par une poutre de gloire qui sous entend l'arc triomphal.

    LES AUTELS


    L'église est l'écrin de l'autel où l'homme souhaite faire une offrande à Dieu. Les autels d'Argentine ne sont plus du I7ième siècle. Refait à la fin du siècle dernier, en 1880 - 1890, par les frères Gilardi, originaires de Suze. Ils restauraient les autels baroques. Très vite renommés, les GILARDI, qui possédaient un atelier à Annecy, s'installèrent à St-Jean-de-Maurienne, où ils réalisèrent de nombreux travaux dans les églises de Savoie.

    LE RETABLE


    Le retable est de style baroque. Le baroque suscite le pathétique, le dramatique, à cet effet, des procédés pour provoquer la sensibilité du spectateur, l'utilisation de scènes émouvantes, d'extase ou de martyre, l'emploi de couleurs fortes, une ornementation appuyée, voire surchargée, partout des fleurs, des fruits, des plantes, des oiseaux, des treilles, des anges joufflus... Les églises construites à cette époque étonnent par le contraste qu'elles présentent entre l'aspect dépouillé à l'extérieur et la surabondance des décors à l'intérieur.

    LE FRONTON AUTEL


    Le fronton autel possède des colonnes camées, est complété d'un portrait du patron de l'église (Saint-Jean-Baptiste) peint par le peintre René Maria Burlet. Cet artiste savoyard né à Albertville décédé en 1994 est l'auteur de nombreuses fresques et vitraux dans la région Rhône Alpes. L'ornement du fronton autel de l'église, laisse l'espace à une baie corniche. Ces vitraux siégeant de chaque côté de l'autel de la Sainte Vierge, sont une copie du XVIIIème siècle. Aucun lieu de culte, sans une statue ou une image de la Vierge ou une inscription de celle-ci.

    LA CHAIRE


    La chaire à prêcher comprend la cuve et l'abat-voix pour la partie sommitale. Le cuve de la chaire est décorée par les 4 évangélistes sculptés en applique. Saint Matthieu avec l'ange, Saint Marc avec le lion, Saint Luc avec le taureau et Saint Jean avec l'aigle. Ces symboles sont en relation directe avec le Christ.

    LE PASSE FORGE AUSSI L'ESPRIT !...


    De part son étymologie, Argentine, affiche clairement sa vocation argentifère, ancrée à l'origine dans son économie locale comme le furent d'autres communes, St-Georges-des-Hurtières, St-Julien-Montdenis... Beaucoup d'historiens dont le chanoine Favre, ont raconté en leur temps, l'histoire passionnante de ces beaux filons. Pierre Castagnéry favorisera le développement de l'industrie du fer. Elle sera la fierté de la saga de cette famille, de père en fils ! Les Castagnéry sont arrivés en Maurienne en 1504, en provenance de Gènes, avec le droit acquis du duc Charles II, de chercher, creuser, les mines de chaux, de fer, dans les paroisses de St-Michel, St-Martin-la-Porte, Valloire, et Valmenier. Puis l'autorisation est donnée de convertir le minerai obtenu en métal. Les fourneaux seront alimentés par les forêts d'Argentine. Ils achèteront le château des Bottets à Argentine, et se feront construire un hôtel à Chambéry, rue Croix d'Or. Les lettres de Patentes du 2 novembre 1619, du duc Charles Emmanuel précisent que la fabrication d'Argentine, répond aux besoins de la Savoie, de la France, et d'autres états. " En 1622, en revenant de Pignerol, St-François-de-Sales, tomba gravement malade à Turin. A peine remis sur pied, il s'arrêta à Argentine, chez le Sieur Castagnéry, où il reçut dit-on une hospitalité remarquée et remarquable " ! Le 3 août 1639, Jean Baptiste, le fils de Pierre Antoine, achète de Ferdinand de Baptefort, baron de l'Aubépin, la baronnie de Châteauneuf. A partir de ce moment, les Castagnéry, devinrent les Castagnéry de Châteauneuf. En 1694, un des fils Castagnéry, François, abbé de Châteauneuf, sera le parrain de François Marie Aouret, plus connu sous le nom de Voltaire. En 1700, la famille possède 5 fourneaux, pour une production de 336 tonnes de fonte, réparties sur St-Pierre-de-Belleville, la Lauzière, St-Alban et St-Rémy-de-Maurienne. Les usines d'Argentine prendront de l'expansion pendant 200 ans sous la dépendance des Castagnéry jusqu'à la fin du XVIIIème siècle.

    " Le passé au service du présent ! " C'est la mission aujourd'hui, du musée du Félicien, qui se propose de faire redécouvrir la vie et le savoir faire des paysans de la basse Maurienne au début des années 1900.

    Visiter un village présente un authentique intérêt. Aux détours des chemins, apparaissent des clichés merveilleux. Les sentiers de mémoire, nous aident à retrouver nos racines. Si paradoxalement que cela puisse paraître aucune commune n'est commune !...

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