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    Lyon :
    + Culture et patrimoine
    Lyon
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    • Sergio Palumbo | dernière mise à jour : 10/11/2012
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    Pour que l’histoire ne soit pas oubliée

    Le Centre d’Histoire de la Résistance et de la Déportation à Lyon ouvre ses portes le 16 novembre 2012 et s’attache à être plus qu’un un lieu fort et symbolique. C’est un musée d’Histoire centré sur la Seconde Guerre mondiale, qui prolonge sa réflexion sur le monde contemporain, notamment à travers ses expositions temporaires abordant des sujets d’histoire immédiate, ayant trait à la défense des droits de l’Homme.
     
    Visuel Centre d’Histoire de la résistance et de la déportation
     
    Le Centre d’Histoire de la résistance et de la déportation, 14 rue Berthelot 69007 Lyon ouvre ses portes le 16 novembre 2012 et s’attache à être plus qu’un un lieu fort et symbolique. C’est un musée d’Histoire centré sur la Seconde Guerre mondiale, qui prolonge sa réflexion sur le monde contemporain, notamment à travers ses expositions temporaires abordant des sujets d’histoire immédiate, ayant trait à la défense des droits de l’Homme.
     

    Juillet 1987. Klaus Barbie est jugé coupable de crimes contre l’humanité et condamné à la réclusion criminelle à perpétuité par la cour d’assises du Rhône. Alors inédite en France, cette décision éclaire d’un jour nouveau la Shoah et les crimes perpétrés par le régime nazi. Elle réveille la mémoire collective des Lyonnais et précipite la création d’un établissement municipal dédié à l’histoire de la Résistance et de la Déportation. Initié dès 1965, le premier musée était porté par

    une association d’anciens résistants et déportés. Son existence, l’engagement de ses fondateurs et l’intérêt des collections qu’ils acceptent de confier à la Ville de Lyon, accompagnent l’évolution de cette structure vers un musée de France : le Centre d’Histoire de la Résistance et de la Déportation.

    « Jean Moulin, arrêté le 21 juin 1943 à Caluire lors d’une réunion clandestine, y est ainsi torturé pendant plusieurs jours »

    Sous l’impulsion de Michel Noir, alors maire de Lyon et de Maître Alain Jakubowicz, adjoint délégué au respect des droits des citoyens, ancien avocat des parties civiles lors du procès Barbie, le CHRD est inauguré le 15 octobre 1992 en présence d’Élie Wiesel, prix Nobel de la paix, déporté à Auschwitz et Buchenwald et de Jacques Chaban-Delmas, Compagnon de la Libération. L’édifice choisi pour son implantation ne doit rien au hasard : l’ancienne Ecole du Service de santé militaire a en effet été le siège de la Gestapo, dirigée par le lieutenant Klaus Barbie, durant l’année 1943. C’était alors le centre d’interrogatoire des résistants et des Juifs arrêtés par la police allemande. Jean Moulin, arrêté le 21 juin 1943 à Caluire lors d’une réunion clandestine, y est ainsi torturé pendant plusieurs jours. Détenu à la prison de Montluc jusqu’au 26 juin, il est ensuite transféré à Paris et meurt des suites des sévices subis.
     
    Inscrire dans ce lieu de répression un musée de la Résistance et de la Déportation est donc un symbole fort. Dès son ouverture, les témoins de la période occupent une place centrale dans le musée où ils sont régulièrement sollicités en leur qualité de passeurs de mémoire pour intervenir auprès du jeune public. Le lien historique avec le procès Barbie s’exprime à travers la diffusion exclusive, obtenue par dérogation spéciale du tribunal de grande instance de Paris, d’extraits du procès dans une salle du musée dédiée à cet usage. En vingt ans, le CHRD a reçu plus d’un million de visiteurs et se positionne aujourd’hui parmi les plus importants musées d’histoire de la Seconde Guerre mondiale en France.
    Zoom au 14 de l’avenue Berthelot
     
    Le 14 de l’avenue Berthelot à Lyon
    14 de l’avenue Berthelot - © Pierre Verrier
     
    Après la défaite française de 1871, l’Ecole du service de santé militaire (ESSM) de Strasbourg est rapatriée à Lyon : elle s’installe sur la rive gauche du Rhône, sur l’avenue des Ponts du Midi, qui deviendra l’avenue Berthelot en 1907. L’école fonctionne tant bien que mal jusqu’à l’invasion de la zone libre par les Allemands, le 11 novembre 1942. L’occupant investit alors tous les établissements militaires ; les élèves sont expulsés, l’école fermée. En mars 1943, les bureaux de cinq des six sections du Sipo-SD, chargées de la
    police et du renseignement, s’installent avenue Berthelot. La section IV, connue sous le nom de Gestapo, est dirigée par le lieutenant Klaus Barbie. Elle est chargée de la lutte contre la Résistance et de la traque des populations juives. L’ESSM devient alors le centre d’interrogatoire des résistants et des Juifs arrêtés par la police allemande.
     
    Incarcérés à la prison de Montluc, les détenus sont conduits avenue Berthelot et subissent des interrogatoires brutaux où la torture est une pratique courante. De nombreuses exécutions sommaires sont commises dans les locaux. Le 26 mai 1944, les bâtiments de l’école donnant sur l’avenue sont fortuitement détruits par un bombardement allié visant les installations ferroviaires situées à proximité. Après l’attaque, les services du SD, contraints de trouver de nouveaux locaux pour la poursuite de la répression, s’installent au 32, place Bellecour jusqu’à la Libération.
    Lyon pendant la Seconde Guerre mondiale
     
    Carte d’identité de Jean Moulin au nom de Joseph Mercier
    Carte d’identité de Jean Moulin au nom de Joseph Mercier
     
    Le général de Gaulle en visite à Lyon, le 14 septembre 1944
    Le général de Gaulle en visite à Lyon, le 14 septembre 1944
     
    Interview de Laurent Douzou, Professeur des universités en Histoire contemporaine à l’Institut d’études politiques de Lyon. Membre du conseil scientifique du CHRD.
     
    En 1940, Lyon se trouve être l’une des principales métropoles de la zone non occupée : quel statut lui confère cette position ?
    Laurent Douzou : L’armistice, en créant une zone non occupée, dessine une nouvelle géographie politique et mentale de la France. Il n’y a plus une France mais plusieurs et la souveraineté que le régime installé à Vichy revendique fait de la zone non occupée une entité particulière. Au tout début, Marseille n’attire pas moins que Lyon et on peut penser que c’est Marseille qui fera figure de véritable "capitale" de la zone non occupée. Très vite pourtant, Lyon s’impose : c’est là que s’installent les directions des grands
    mouvements de résistance qui voient le jour en 1941. Sa situation géographique, proche de la ligne de démarcation, nœud ferroviaire de première importance, a joué en faveur de la capitale des Gaules tout comme le fait que beaucoup d’élites intellectuelles parisiennes (journalistes, écrivains) y ont trouvé refuge. Grande métropole, Lyon présentait également l’avantage d’offrir des services d’un haut degré de compétences, par exemple grâce aux ouvriers du Livre qui prêtèrent leur concours à la Résistance.
     
    En septembre 1944, le général de Gaulle désignait Lyon "capitale de la Résistance". Ce titre vous paraît-il aujourd’hui justifié ?
    Laurent Douzou : Le général de Gaulle n’était pas homme à improviser à la légère et à se laisser aller, dans la chaleur d’un instant fort, à prononcer des mots qui auraient dépassé sa pensée. Il savait trop le pouvoir des mots. C’est en toute connaissance de cause qu’il a qualifié Lyon de "capitale de la Résistance". La capitale étant occupée, Lyon a été le centre névralgique d’une bonne part de la Résistance jusque dans l’été 1943 quand Paris a repris le rôle qui lui était dévolu depuis des siècles. La médaille de la Résistance fut décernée à Lyon tandis que Grenoble recevait la croix de la Libération comme Vassieux-en-Vercors, ce qui était une façon de souligner la part prise dans le combat par la région Rhône-Alpes.
     
    Jean Moulin est une des figures héroïques émergentes de cette époque. Quel a été son rôle dans la Résistance et son action à Lyon plus particulièrement ?
    Laurent Douzou : Jean Moulin est devenu le héros éponyme de la Résistance avec son entrée au Panthéon en décembre 1964 : énoncer son nom, c’est ipso facto évoquer la Résistance. Il a joué un rôle crucial dans l’unification de la Résistance française concrétisée par la fondation du Conseil national de la Résistance en mai 1943. L’action qu’il a menée jusqu’à son arrestation le 21 juin 1943 a d’abord eu pour centre la ville de Lyon ; c’est là qu’il est parvenu à unifier les mouvements de la Résistance non communiste de la zone non occupée. Lyon a été en quelque sorte son quartier général.
     
    Peut-on dire que Lyon a également été une base de répression à l’encontre des résistants et de la persécution des Juifs ?
    Laurent Douzou : La densité de résistants à Lyon et le grand nombre de réfugiés, notamment juifs, ont amené le régime de Vichy et les Allemands, à partir de l’occupation de la zone sud en novembre 1942, à y exercer une répression dont le caractère impitoyable est allé croissant jusqu’aux heures brûlantes de l’été 1944. La rafle de la rue Ste-Catherine, le 9 février 1943, au cours de laquelle 84 personnes furent arrêtées par la Gestapo de Lyon sous les ordres de Klaus Barbie, est un des épisodes les plus dramatiques de la traque dont les Juifs furent victimes. Des 84 Juifs arrêtés ce jour-là et déportés dans les camps d’extermination, seuls 4 sont revenus. Côté résistants, c’est l’arrestation à Caluire, le 21 juin de cette même année, de Jean Moulin et d’autres hauts responsables de l’Armée secrète qui symbolise cette répression.
     
    Selon vous, dans quelle mesure le procès Barbie, qui s’est tenu à Lyon en 1987, a-t-il contribué à raviver la mémoire de cette période auprès des Lyonnais ?
    Laurent Douzou : Le procès de Klaus Barbie a bel et bien ravivé la mémoire de cette période sombre à Lyon, notamment grâce aux témoignages poignants livrés à cette occasion par les victimes : on croyait tout savoir déjà et soudain la parole vive des actrices et des acteurs faisaient toucher du doigt une réalité enfouie. La création du Centre d’Histoire de la Résistance et de la Déportation en 1992, à l’initiative du maire de Lyon de l’époque, Michel Noir, fut une des retombées de ce procès hors normes : le fait que le CHRD ait été installé dans les locaux de l’ancienne Ecole de Santé militaire qui avait été le siège de la Gestapo à Lyon et où avait œuvré Klaus Barbie ne devait évidemment rien au hasard.

    Merci au Centre d’Histoire de la Résistance et de la Déportation de nous avoir permis de réaliser cette présentation.

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    Visuel Centre d’Histoire de la résistance et de la déportation de Lyon
     
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    Aménagé dans l’ancienne Ecole du service de santé militaire, à l’intérieur des bâtiments où Klaus Barbie a sévi, le Centre d’Histoire de la Résistance et de la Déportation s’attache à être plus qu’un un lieu fort et symbolique…(lire la suite)

     
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