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Marie Heurtin en avant-première nationale à Chambéry

Marie Heurtin en avant-première nationale

au cinéma l’Astrée à Chambéry

– Mardi 04 novembre 2014 à 20h30 –

Le cinéma l’Astrée à Chambéry a programmé en avant-première nationale le film « Marie Heurtin », un film de Jean-Pierre Améris. A cette occasion, le réalisateur et la comédienne et Ariana Rivoire, seront présent pour rencontrer le public et échanger.

Ariana Rivoire et Isabelle Carré - © Michaël Crotto

Ariana Rivoire et Isabelle Carré – © Michaël Crotto

 

Marie HeurtinMarie Heurtin

Réalisé par Jean-Pierre Améris
Avec Isabelle Carré, Ariana Rivoire, Brigitte Catillon…
► : 01h15min
Sortie prévue le 12 novembre 2014

Cette histoire est inspirée de faits réels qui se sont déroulés en France à la fin du XIXème siècle.

Née sourde et aveugle en 1885, âgée de 14 ans, Marie Heurtin est incapable de communiquer. Son père, modeste artisan, ne peut se résoudre, comme le lui conseille un médecin qui la juge « débile », à la faire interner dans un asile. En désespoir de cause, il se rend à l’institut de Larnay, près de Poitiers, où des religieuses prennent en charge des jeunes filles sourdes. Malgré le scepticisme de la Mère supérieure, une jeune religieuse, Sœur Marguerite, se fait fort de s’occuper du « petit animal sauvage » qu’est Marie et de tout faire pour la sortir de sa nuit. Elle y parviendra, malgré les échecs, la tentation du découragement, armée de sa foi joyeuse et de son amour pour la petite Marie.

Isabelle Carré et Ariana Rivoire - © Concorde Filmverleih GmbH

Isabelle Carré et Ariana Rivoire
© Concorde Filmverleih GmbH

Isabelle Carré et Ariana Rivoire - © Michaël Crotto

Isabelle Carré et Ariana Rivoire
© Michaël Crotto


Jean-Pierre Améris

Jean-Pierre Améris - © Concorde Filmverleih GmbH

Jean-Pierre Améris – © Concorde Filmverleih GmbH

Diplômé de l’IDHEC, Jean-Pierre Améris retourne dans sa ville natale, Lyon, pour y réaliser en 1987 trois courts métrages, parmi lesquels « Intérim », qui lui vaudra l’année suivante le Grand Prix du Festival de Clermont-Ferrand.

C’est en 1992 qu’il met en scène son premier long métrage, « Le Bateau de mariage« , l’histoire d’un instituteur sous l’Occupation. Le film est sélectionné dans plusieurs festivals internationaux, et obtient, entre autres, le Prix de la jeunesse au Festival de Tübingen. Il alterne ensuite entre fictions et documentaires, avant de livrer « Les Aveux de l’innocent« , primé plusieurs fois au Festival de Cannes en 1996 : Prix de la Semaine de la critique, Prix de la Jeunesse et Grand Rail d’or. Deux ans plus tard, Maud Forget et Robinson Stévenin sont les interprètes principaux de ses « Mauvaises fréquentations« , Prix de la Mise en scène au Festival de San Sebastian.

Les centres de soins palliatifs et les clubs de boxe servent de décors à ses deux films suivants : « C’est la vie » (2001) avec Sandrine Bonnaire et Jacques Dutronc, et « Poids léger » (2003), l’adaptation d’un roman d’Olivier Adam dans laquelle évoluent Nicolas Duvauchelle et Bernard Campan. Après avoir un temps songé à transposer sur grand écran « La Cicatrice » de Bruce Lowry, Jean-Pierre Améris jette son dévolu sur l’ouvrage d’Anne Wiazemsky, « Je m’appelle Elisabeth« , pour évoquer un thème qui lui est cher : l’enfance. Benoît Poelvoorde et Isabelle Carré sont deux timides maladifs sous sa caméra dans « Les Emotifs anonymes« , qu’il signe en 2010 après un téléfilm, « La Joie de vivre« , porté par Anaïs Demoustier.

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